Serge HEFEZ, ou la perversion narcissique d’un psychanalyste de comptoir. Dossier Dominique Strauss-Kahn

lemondefr

Serge Hefez veut nous emmener sur les chemins de l'auto-destruction, de l'attitude suicidaire de DSK. Mais nous ne pouvions laisser passer ce texte du Monde.fr sans y réagir quelque peu.

 

Dans votre article du Monde du 18 Mai 2011, monsieur (avec une minuscule) serge hefez, psychanalyste récidiviste encore aujourd’hui sur la perversion narcissique de notre Président Nicolas Sarkozy, venez de perdre encore une occasion de vous taire, en intitulant votre article : « DSK, une mystérieuse autodestruction ».

Mais qu’importe pour vous, psychanalyste narcissique agitateur de bocal, l’important étant de créer le buzz et de faire parler de vous dans les médias.

Je ne reprendrai aujourd'hui que cette phrase: « Difficile d'imaginer qu'il (Dominique Strauss-Kahn) n'a pas "quelque part" désiré cette chute qui marque le refus d'un destin préconçu. »

Quelques remarques :

- Lorsque vous recevez un patient, que celui-ci ne vous a pas encore fait part de sa problématique, êtes-vous capable de porter diagnostic et analyse aussi pointu ?

- Que vous portez jugement (votre analyse en fait déjà un coupable), alors que vous n’avez pas compétence à juger, ni à diagnostiquer.
Laissez faire les juges et les experts psychiatres
Vous ne connaissez, comme nous d’ailleurs, que ce que les médias nous disent…. Bien peu par rapport à la réalité dramatique des faits.

- Que Lacan nous dit : "Gardez-vous de comprendre", alors ne pensez pas à la place des autres.

Alors, Serge Hefez;

- soit vous êtes le psychanalyste de Dominique Strauss-Kahn, et alors vous devez impérativement vous taire,

- soit vous ne l’êtes pas, et alors vous n’avez pas le droit de parler d’un cas dont vous ne savez pas plus de choses que ceux qui n’en savent rien.

Pierre Dac disait : « Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler, sont les deux principes fondamentaux de tous ceux qui feraient mieux de se la fermer avant de l’ouvrir »

.... "et quand on fait de la psychanalyse à 2 balles, il y en a une qui vous risqueriez de prendre dans l'hefez"